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Le journal des hexagons
Actualité municipale
CCSA : ouverture de la nouvelle piscine

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Et on est prié de ne pas dire : “la piscine de Saint-Flo” mais “la piscine de la Communauté de Communes” car les 29 communes de la CCSA ont participé (et participeront) à son financement et à son entretien.
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Le projet d’aménagement du carrefour du Trianon
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Éclairage public

2023.
Les lampadaires (env.240) seront pilotés par ordinateur et l’intensité de chaque point lumineux sera modulable en fonction des besoins, des heures et des saisons. Ce système devrait accroître encore les
performances énergétiques de l’ensemble.
Immobilier : prix du m² à Venizy (décembre 2022)
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DIVERS – INFO
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L’ Infolettre de janvier est en ligne. Voyons ça...
Actualité département & région
Plus d’actualités locales (par Google Actualités)
Réforme des retraites : forte mobilisation dans l’Yonne
3000 manifestants à Sens et 6000 à Auxerre (selon les comptages), les syndicats ont fait plus que le plein lors de cette journée d’action. Parmi eux une majorité d’actifs des secteurs publics et privés mais aussi une proportion en nette hausse de retraités et de jeunes.
Brienon : concert le 5 février

Les Passions de l’âme baroque. Bach, Haendel, Vivaldi, Marin Marais, Purcell…
Olga Vojnovic, soprano, Anne Lambrichs, contralto, Joëlle Cousin, violon, Nicolas Hero, flûte, Tristan Bourget, violoncelle, Selmaccord, accordéon
Théâtre Perché, Brienon-sur-Armançon
Contact : 03 86 73 76 87
Ensemble ACCESO

Après quelques mois d’attente et 11 millions d’euros plus tard, “le Flow” (appellation officielle) sera inauguré le mercredi 1er février en l’absence de Patrick Gendraud, président du Conseil départemental qui a refusé au président de la CCSA la rallonge budgétaire que ce dernier lui réclamait. Il faut dire que le coût énergétique prévu a explosé passant de 150 à 500 000 euros/an et qu’il va bien falloir trouver cette somme quelque part…
Contact : 09 71 00 62 64
Sortir dans l’Yonne
Services “publics”
Retrouvez le BUS Services à Chailley, le quatrième jeudi de chaque mois, de 9h15 à 12h30
Les publications de la Région et du Département
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Actualité générale
Plus d’actualité nationale et internationale.(par MSN Actualités)
Télévision : The invaders
Pour lutter contre ces envahisseurs qui nous ressemblent, David Vincent dispose d’un seul indice : le petit doigt des envahisseurs. Ils ne peuvent pas le plier.
“David Vincent sait que les envahisseurs sont là, qu’ils ont pris forme humaine et il lui reste à convaincre un monde incrédule que le cauchemar a déjà commencé…”
Méthode Coué : l’âge légal de départ à 64 ans “n’est plus négociable”, affirme Elisabeth Borne.
Elisabeth Borne a assuré que l’âge légal de départ à la retraite fixé par la réforme à 64 ans n’était “plus négociable”. La Première ministre est aussi revenue sur la retraite des femmes au cœur du débat ces derniers jours.
L’âge légal de départ à la retraite à 64 ans “n’est plus négociable”, a affirmé sur franceinfo, Elisabeth Borne, alors que le projet de loi sera examiné à l’Assemblée nationale à partir du 6 février.
La Première ministre souligne que 64 ans est “le compromis proposé” après les discussions avec les syndicats et le patronat. Elisabeth Borne dénonce par ailleurs des “inexactitudes” sur la situation des femmes dans le projet de loi. La réforme “protège les femmes, notamment celles qui ont des carrières interrompues”, précise la cheffe du gouvernement.
Stations de ski : les salariés des stations en force à Albertville : «64 ans, ce n’est pas raisonnable dans nos métiers»
Le cortège contre la réforme des retraites a rassemblé près de 4 000 personnes dans les rues de la cité savoyarde. Employés des remontées et pisteurs se sont particulièrement mobilisés pour exiger la prise en compte de leurs carrières marquées par la saisonnalité et un travail très physique.
A Albertville, la mobilisation contre la réforme des retraites est encore montée d’un cran : de 2 400 manifestants dans les rues de la cité olympique savoyarde, le 19 janvier, à 3 200 ce jeudi, selon la police, ou de 3 000 à 4 000 selon la CGT, cela fait au moins 25 % de monde en plus. «Une foule qui nous ramène au niveau des mobilisations de 1995, contre le plan Juppé, insiste Bruno Guillot, responsable de l’union locale FO. Nous avons la certitude que le mouvement va durer, on voit arriver des gens de tous les secteurs, certains qu’on n’a jamais vus et ne sont pas syndiqués. Les gens sont de moins en moins dupes face aux justifications déconnectées de la vraie vie données par le gouvernement.»
«Je ne me vois pas poursuivre ce travail de nuit usant jusqu’à 67 ans»
Parmi les manifestants, on ne peut manquer les centaines d’employés des sociétés d’exploitation des grandes stations de la Tarentaise, descendus en nombre manifester de Tignes, Courchevel, Val Thorens et bien d’autres… Dans plusieurs stations de Savoie et de Haute-Savoie, dont Méribel et les Arcs, des remontées n’ont pas tourné aujourd’hui, la station des Carroz-d’Arrache est même restée à l’arrêt complet, selon la CGT. A Tignes, souligne Stéphane Cadier, délégué syndical FO, cinq ou six remontées n’ont pas pu être exploitées sur la quarantaine de la station : «Autant, ça n’était jamais arrivé !»
Ceux des Menuires, employés de la Sevabel, filiale de la Compagnie des Alpes, sont plus de 40 présents dans le cortège, vêtus de leurs chaudes combinaisons de travail : «Nous n’étions qu’une douzaine le 19, la colère s’étend», se félicite Cécile Ravarotto, leur déléguée syndicale CGT, qui précise qu’à la colère contre la réforme des retraites s’ajoutent des revendications salariales. Pour Alberto, 58 ans, qui dame les pistes des Menuires la nuit, c’est pourtant bien la question des retraites qui l’a poussé à faire grève et à venir à la manif : «Je suis fatigué, amer et en colère. Je ne me vois pas poursuivre ce travail de nuit usant jusqu’à 67 ans. Plus qu’à moi, je pense à ceux qui viennent derrière, ces jeunes dont la mobilisation reste encore timide, alors qu’ils sont les premiers concernés.»
«On sent quelque chose de fort monter»
Erika, 37 ans, pisteuse-secouriste artificière à Val Thorens, tranche : «Poursuivre notre activité jusqu’à 64 ans, ce n’est pas envisageable, tout simplement. Ce n’est pas raisonnable dans notre métier si on veut rester performant et réactif. Assurer les secours par tout temps, descendre un blessé en traîneau, tracer dans la neige profonde jusqu’à 3 200 mètres d’altitude en portant des charges d’explosif de 5 à 7 kg pour aller déclencher les avalanches, c’est très exigeant et difficile.» Elle qui «sent déjà l’usure» de ses articulations se dit «dans l’inquiétude» sur sa future retraite, à l’issue d’une carrière marquée par la saisonnalité de son activité, de fin novembre à mi-mai, sans oublier ses deux congés maternités.
En tête de cortège, Pierre Scholl, représentant national pour les remontées mécaniques de la CGT et délégué syndical à la Société des 3 Vallées, abandonne son mégaphone quelques minutes et assure : «On sent quelque chose de fort monter. Le mouvement s’amplifie chez nous, saisonniers des remontées mécaniques, qui sommes globalement en mesure de faire grève. Nous représentons tous les saisonniers de l’hôtellerie, de la restauration et des commerces des stations, qui ne peuvent pas se permettre la grève sous peine de perdre leur travail, mais sont vent debout contre la réforme des retraites et celle de l’assurance chômage, qui nous pénalise particulièrement.» Si les stations sont très loin de risquer la paralysie pendant les vacances scolaires qui s’ouvrent, le syndicaliste l’assure : les saisonniers «préparent des actions fortes» pour se faire entendre.
31 janvier : M.Macron regarde ailleurs.

M.Macron et M.Rutte, premier ministre des Pays-Bas le 31 janvier à La Haye
Alors que la réforme des retraites est le sujet qui intéresse et questionne le plus les Français, Emmanuel Macron reste très silencieux et en retrait au sujet de cette réforme phare de sa présidence. Une tactique mûrement réfléchie par le président et son équipe.
Pendant que le débat sur les retraites agite le pays, Emmanuel Macron regarde ailleurs : l’Elysée met clairement en scène un président occupé par l’Ukraine ou les défis climatiques, économiques et migratoires. Aussi loin que possible du tumulte de la rue et de l’Assemblée.
« C’est bien de montrer qu’il n’y a pas que les retraites, les Français vont se lasser », assure une figure du camp présidentiel. À ses yeux, la « réforme emblématique » des retraites ne serait pas un moment-clé du second quinquennat du chef de l’État, mais viendrait « parachever » le premier, au cours duquel il n’avait pu clôturer ce chantier.
Grève contre la réforme des retraites : mobilisation en forte hausse.
Les décomptes diffèrent, mais la hausse de la mobilisation contre le projet de réforme des retraites du gouvernement ne fait pas de doute. Selon le ministère de l’Intérieur, 1,27 million de personnes étaient dans la rue en France, mardi 31 janvier, contre 1,12 million lors de la première journée de grève et de manifestations, le 19 janvier. La CGT revendique de son côté 2,8 millions de participants, contre “plus de 2 millions” deux semaines plus tôt. Face à cette hausse, la Première ministre a réagi, sur Twitter. “La réforme des retraites suscite des interrogations et des doutes. Nous les entendons”, affirme Elisabeth Borne. L’intersyndicale prépare la suite du mouvement : elle appelle à deux nouvelles journées de grèves et des manifestations mardi 7 et samedi 11 février. .
Les syndicats ont justifié leur choix de ces deux dates de mobilisation. Il s’agit de permettre “à tous les gens qui le peuvent de rejoindre les cortèges”, a expliqué Catherine Perret, secrétaire confédérale CGT, lors de la conférence de presse intersyndicale. “Le match est au parlement, la séquence va être courte, il faut qu’on puisse mobiliser au moment où les débats ont lieu”, a ajouté Marylise Léon, secrétaire générale adjointe de la CFDT. A l’Assemblée, la discussion du projet en séance publique sera limitée à deux semaines à partir du 6 février.
Tour de France des rassemblements :
Les députés “LR” veulent montrer qu’ils bougent encore un peu
Le député Pierre-Henri Dumont estime qu’il « faut améliorer le texte » pendant son examen au Parlement, notamment sur les débuts de carrière avant 21 ans.
L’avertissement est clair. Alors qu’Élisabeth Borne se montre inflexible sur le recul de l’âge de départ à la retraite ce dimanche 29 janvier, une petite poignée de députés Les Républicains fixent une nouvelle condition pour soutenir le texte du gouvernement.
Sur RMC, le député du Pas-de-Calais Pierre-Henri Dumont a annoncé le dépôt d’un amendement permettant « à tous ceux qui ont cotisé au moins un trimestre avant l’âge de 21 ans de partir avant l’âge légal, dès lors qu’ils ont tous leurs trimestres, sans décote. »
« Quand on a commencé avant 18 ans dans l’apprentissage, pour avoir un trimestre validé, il faut cotiser trois trimestres, car on cotise à un niveau SMIC. Donc quelqu’un qui a commencé l’apprentissage à 16 ans devrait cotiser 46 annuités pour pouvoir partir sans décote », déplore également l’élu.
Et de prévenir : « On risque d’avoir un sujet si cet amendement n’est pas accepté car il y a un nombre important de députés du groupe Les Républicains ne sont pas prêts à voter cette réforme, peuvent même voter contre, si cette possibilité n’est pas donnée », poursuit-il, en s’incluant dans cette catégorie.
Au nom de la « cohérence » avec la ligne de son parti, le patron de LR Éric Ciotti s’est dit prêt à voter le projet de réforme du gouvernement à condition qu’elle soit « juste ». Mais depuis, plusieurs élus du parti ont pris leurs distances avec cette position.
Inflation : recul historique de la consommation
Sur fond de hausse des prix très marquée, en particulier sur la nourriture, la consommation des ménages recule dans ce secteur, et enregistre une baisse historique.
Jamais une telle baisse n’avait été observée. Les ménages ont diminué leur consommation en produits alimentaires. Au quatrième trimestre de l’an dernier, elle est en repli de 2,8 % en volume sur un an, soit davantage que l’ensemble de la consommation en biens et services (-0,9 % sur la même période), selon les derniers chiffres de l’Insee. Sur toute l’année 2022, la consommation de produits alimentaires a diminué en moyenne de 4,6 % alors que la consommation en biens et en services était en hausse, de 2,7 %. Depuis le début des séries statistiques, en 1960, jamais un recul d’une telle ampleur n’avait été constaté. «Une seule baisse, de 1 point, a eu lieu en 2021, en lien avec la réouverture des restaurants après les confinements», note Thomas Laurent, le chef de la division des comptes trimestriels à l’Insee.
Hausse de 13,2% des prix du gaz et de l’électricité
Les ménages se sont mis à moins consommer de nourriture, y compris pendant les fêtes de fin d’année, pendant que les prix des produits alimentaires connaissaient des hausses faramineuses. Le retour de l’inflation, d’abord lié à une forte activité économique mondiale après la pandémie, puis à la guerre en Ukraine déclenchée par le Russie le 24 février, avait d’abord touché l’énergie. Puis au fur et à mesure de l’année, la hausse des prix du gaz et de l’électricité s’est diffusée aux prix de l’alimentation et des boissons, au point qu’ils sont devenus les premiers contributeurs de l’inflation en fin d’année. En janvier encore, ils ont crû de 13,2 % sur un an. En décembre, sur un an encore, ils «restent en forte hausse» (+19,4 %), et, calcule l’Insee, «ils se situent environ 26 % au-dessus de leur niveau moyen de 2019».
Différences selon les revenus
Il est encore trop tôt pour savoir sur quels produits les ménages ont fait de tels arbitrages, et pour connaître les foyers concernés par ce changement dans les habitudes de consommation. Néanmoins, en regardant le poids du poste alimentation dans les budgets, les différences sont marquées selon les revenus. Raul Sampognaro, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) souligne : «Les 10 % des ménages les plus pauvres consacrent 17,4 % de leur budget aux produits alimentaires, les 10 % les plus riches n’y consacrent que 13,6 %». Le recul de la consommation alimentaire peut, selon lui, être interprété comme «un signal d’alerte sur le pouvoir d’achat des ménages qui ne disposent pas d’épargne» et rencontrent de grandes difficultés pour faire face au choc inflationniste.
Pour comprendre le naufrage généralisé des services publics.
Ce livre raconte les services publics : ceux qui ont fait vivre des villages et ceux qui ont enrichi des entreprises, les guichets où on dit ” non ” et ceux qui donnent accès à des droits. Il combat les fausses évidences qui dévalorisent pour mieux détruire – les fonctionnaires trop nombreux, privilégiés, paresseux. Il mène l’enquête pour dévoiler les motifs des crimes et leurs modes opératoires, des projets de réforme à leurs applications.
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